Le Tribunal de commerce de Quimper vient de rendre
sa décision sur l’avenir du groupe Doux : prolongation jusqu’au 9 octobre
2012 de la période d’observation des pôles poulets congelés export et produits
élaborés mais liquidation du pôle frais avec dépôt d’éventuelles offres de
reprise au plus tard pour le 10 août prochain.
La raison l’a-t-elle emporté ?
Pour nous éleveurs, le règlement à 100 % des créances passées (avant le 1er juin 2012) ainsi que le maintien des contrats avec la fourniture de moyens de production irréprochables (aliment, gaz, produits vétérinaires, transport…) sont des exigences incontournables auxquelles les dirigeants du groupe Doux doivent maintenant apporter des réponses claires et urgentes.
En réponse à cette revendication, le groupe Doux s’est jusqu’à présent contenté de proposer un règlement à 50 % des créances. Comment les éleveurs récupèreront ils leur solde : en entrant au capital du groupe Doux ? Et pour cela, peut être que les éleveurs devront constituer une coopérative !
La CFA avec la FNSEA et son réseau syndical FDSEA/FRSEA est plus que jamais mobilisée pour qu’aucun éleveur ne soit laissé pour compte.
Il serait trop facile de conserver ce qui est le plus rentable et de laisser le soin à d’autres d’assumer la casse tant sur le plan social que sur le maintien de la production de volailles fraîches.
Pour nous éleveurs, le règlement à 100 % des créances passées (avant le 1er juin 2012) ainsi que le maintien des contrats avec la fourniture de moyens de production irréprochables (aliment, gaz, produits vétérinaires, transport…) sont des exigences incontournables auxquelles les dirigeants du groupe Doux doivent maintenant apporter des réponses claires et urgentes.
En réponse à cette revendication, le groupe Doux s’est jusqu’à présent contenté de proposer un règlement à 50 % des créances. Comment les éleveurs récupèreront ils leur solde : en entrant au capital du groupe Doux ? Et pour cela, peut être que les éleveurs devront constituer une coopérative !
La CFA avec la FNSEA et son réseau syndical FDSEA/FRSEA est plus que jamais mobilisée pour qu’aucun éleveur ne soit laissé pour compte.
Il serait trop facile de conserver ce qui est le plus rentable et de laisser le soin à d’autres d’assumer la casse tant sur le plan social que sur le maintien de la production de volailles fraîches.
Communiqué de presse de la CFA du 1er août 2012
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